Le budget de l'Etat de 2014 qui s'élèvera à 28125 millions de dinars en hausse de 2.3% seulement par rapport à celui 2013, sera axé sur la réduction des dépenses après les budgets expansionnistes décidés après la révolution, selon le ministre des Finances Elyes Fakhfakh.
Le budget de 2014 sera marqué notamment, par une hausse de 7.8% des recettes fiscales, une baisse des dépenses salariales et celles de compensation de 1.4%, a précisé Mr Fakhfakh à l'issue d'un conseil ministériel consacré mercredi au budget complémentaire de 2013, au budget de l'Etat et la loi des finances 2014.
Il a indiqué que la démarche adoptée permettra d'allouer 5600 millions de dinars au budget de développement, soit une hausse de 16.7% par rapport à l'année en cours, ce qui engendrera un déficit de 5.7%.
"Ainsi, un gain de 1.1%, soit 4852 millions de dinars, sera réalisé par rapport au budget et à la loi de finances 2013" a-t-il dit.
Cette démarche, axée sur la réduction des dépenses, intervient après 3 ans successifs de budget expansionniste en hausse de 53% par rapport à 2010, soit un accroissement de 15% par an, a-t-il encore précisé.
Les dispositions de la loi de finances 2014 comportent plusieurs axes relatifs au renforcement de la compétitivité et de l'investissement, à la baisse des impôts au profit des entreprises de 25 à 30%, à l'augmentation de 10% de distribution des dividendes réalisées par l'exportation.
La loi des finances comporte d'autres mesures, dont celles de caractère social.
D'autres dispositions permettront de limiter l'évasion fiscale, renforcer la transparence et appuyer les règles de la concurrence loyale.
Le reste des mesures ont trait au secteur de l'agriculture, notamment une annulation conditionnée des dettes des agriculteurs dont le montant ne dépasse pas les 5 milles dinars.
Le nombre des agriculteurs devant bénéficier de cette mesure s'élève à plus de 75 mille agriculteurs.
http://www.radioexpressfm.com/lire/b...ionnistes-5801
Le budget de 2014 sera marqué notamment, par une hausse de 7.8% des recettes fiscales, une baisse des dépenses salariales et celles de compensation de 1.4%, a précisé Mr Fakhfakh à l'issue d'un conseil ministériel consacré mercredi au budget complémentaire de 2013, au budget de l'Etat et la loi des finances 2014.
Il a indiqué que la démarche adoptée permettra d'allouer 5600 millions de dinars au budget de développement, soit une hausse de 16.7% par rapport à l'année en cours, ce qui engendrera un déficit de 5.7%.
"Ainsi, un gain de 1.1%, soit 4852 millions de dinars, sera réalisé par rapport au budget et à la loi de finances 2013" a-t-il dit.
Cette démarche, axée sur la réduction des dépenses, intervient après 3 ans successifs de budget expansionniste en hausse de 53% par rapport à 2010, soit un accroissement de 15% par an, a-t-il encore précisé.
Les dispositions de la loi de finances 2014 comportent plusieurs axes relatifs au renforcement de la compétitivité et de l'investissement, à la baisse des impôts au profit des entreprises de 25 à 30%, à l'augmentation de 10% de distribution des dividendes réalisées par l'exportation.
La loi des finances comporte d'autres mesures, dont celles de caractère social.
D'autres dispositions permettront de limiter l'évasion fiscale, renforcer la transparence et appuyer les règles de la concurrence loyale.
Le reste des mesures ont trait au secteur de l'agriculture, notamment une annulation conditionnée des dettes des agriculteurs dont le montant ne dépasse pas les 5 milles dinars.
Le nombre des agriculteurs devant bénéficier de cette mesure s'élève à plus de 75 mille agriculteurs.
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